Nouvelle appli de rencontres et énergie solaire réutilisable : voici le journal des bonnes nouvelles !

29 janvier 2020 à 5h50 par Diane Thibaudier

WIT FM
On peut désormais emmagasiner de l'énergie solaire pour l'utiliser des années plus tard. Image d'ill
Crédit : Pixabay

Les drames nous envahissent au quotidien... Pour égayer votre journée, voici deux infos positives à partager sans modération !

Bonne nouvelle si vous cherchez l’amour ! 

Surtout si vous utilisez une application de rencontre ! L’inconvénient de ce genre d’applications, c’est qu’on ne sait jamais sur qui on va tomber. Problème, il peut y avoir certains risques, notamment pour les femmes.

Pour éviter ce genre de problèmes de sécurité, l'une de ces applications vient de se renouveler. Désormais, chaque nouvel inscrit sur Tinder devra faire vérifier son compte en se prenant en selfie en temps réel dans une pose imposée par un logiciel. La photo sera comparée aux autres utilisées sur le profil afin de vérifier qu'il ne s'agit pas de photos téléchargées, appartenant à quelqu'un d'autre. 

Autre nouveauté, intitulée Noonlight : un garde du corps que nous prévenons de notre prochain rencard. Les inscrits lui donnent la date, l'heure et le lieu du rendez-vous, ainsi que la personne qu'ils rencontrent. Ainsi, en cas de danger, il suffira d’appuyer sur un bouton alerte, en toute discrétion.

Bonne nouvelle pour la planète !

L’énergie solaire est écologique mais pose un problème de taille : les panneaux solaires qu’on installe sur nos maisons sont incapables de conserver l’énergie emmagasinée quand il fait beau, sur le long terme.

Mais tout ceci va changer puisque des chercheurs suédois viennent d’annoncer qu'ils étaient désormais capables de maîtriser efficacement l’énergie solaire grâce à un fluide moléculaire. Résultat ? Cette énergie peut être contenue dans des bonbonnes en attendant d'être utilisée.

Mieux encore, elle peut même être conservée pendant 18 ans, avant d’être utilisée pour faire tourner un lave-linge ou pour chauffer une maison par exemple. En revanche, il va encore falloir plusieurs années de tests avant de voir ce genre de dispositifs sur les toits de nos logements.